le français c'est chouette ...
Français familier: Je m’baladais sur l’avenue, le cœur ouvert à l’inconnu, quand ce dernier me cria, que je ne marchai pas franchement droit, que j’avais du me du me boire un ou deux joli litre de vin. Puis sans transition il hurla : « que j’étais cocu, et bien trop con pour m’en rendre compte ». je lui ai gueulé qu’il pourrait parler quand il passerai ses journée à autre chose qu’à glander.
Auvergnat : Je badais ma caque, quand un marot m’ a niargué, me disant que je chabranlais un peu trop… que j’avais du me cramouiller deux ou 3 boussets puis il a bramé « au congrès des bannards tu serais délégué »
celui là au lieu de se branler les couennes, il ferait mieux de dégatter ses petits pois.
ZEP : Je zonais à l’aise, je roulais la beuh de manu, t’as vu, y a rachid qui ramène sa gueule d’enculé, t’as vu, et là, qu’est qu’il me dit pas cte connard : « j kiffe le cul de ta moeuf, cte pute, elle déchire grave au lit » je lui ai maravé sa face, grave.
Français soutenu : je baguenaudais, dans les rues de paris, humant à pleins poumons une substance malencontreusement illicite que mon très proche ami, charles emmanuel, cultivais à loisir, et lorsqu’il y était disposé m’en faisais offrande contre une modeste participation .
je me vis alors abordé par un énergumène, qui m’entretins de maints sujets, et en particulier de ma tendre épouse, me racontant que sa compagnie lui était chère, que sa beauté lui réjouissais le cœur, et qu’il espérait que je ne trouvais pas d’objection à ce qu’il la fréquentasse… ce à quoi je lui répondis fort aimablement que je n’y trouvai rien à redire à condition toute fois que cette dernière fusse d’accord …
il s’avéra quelques 9 mois plus tard, qu’il l’avait bien fréquenté, le faquin !