TOP 5 des phrases de notre enfance.

 
number one : "C'est pas moi, c'est lui qui a commencé " ... ça quand t'es gamin, si tu la prononces pas 3 fois jour, c'est que tu n'es pas digne de ta jeunesse.
aaah le "c'est pas moi, c'est lui", la preuve irrémédiable ( enfin ça c'est ce qu'on croyait ) de notre plus pure innocence.
chez l'adulte c'est une répartie qui à vachement moins la classe, rapport à ce que ça te fait une bonne tête de balance, à la seconde ou tu la prononces. 
 
2 : "qui veux jouer à chat avec nous ". je ne sais pas pour vous, nous on la chantonnais, cette phrase, en se tenant par l'épaule, et celui qui voulais venais et chantais avec nous ... je crois que ça nous amusais plus que de jouer vraiment à chat.
 
3 : " oui bah d'abord mon papa il est ..." les trois petits points sont à remplacer par pompier, policier ... bref un métier qui tape, en uniforme et que si on t'embêtes il va venir dans la seconde régler le sort de l'inconscient qui a osé te piquer une frite ( NON, mais une FRIIITE, quoi ! )
c'est ainsi qu'en maternelle et  primaire la majorité des papas sont pompiers, quand bien même dans la drôle de vie qui n'est pas la cour de récréation ils feraient de la comptabilité. 

de toute façon que ceux ci ne s'inquiètent pas, dans quelques années ils seront relegués à la fonction de "con" ... ce qui est finalement bien plus pratique.
 
4 :" quand est ce qu'on arrive ? " oh la jolie phrase que voilà, qui peut te foutre le plus zen des parents dans  un état de stress aigu, difficilement contrôlé, surtout qu'en par mégarde il arriverait que ces quelques mots soit répétés en boucle, et ce à partir des 3 premiers mètres réalisés : le voyage en compte bien évidement plus de 300 000, de mètres ( oui ça fait dans les 300 km... mais 300 000 ça rajoute un petit coup de pression, trouve-je, et j'ai le droit de trouvjer ... merci !)
 
si on est petit, mais grand dans l'âme, on peut avec beaucoup de bonheur l'associer à " j'ai envie de faire pipi ", ça permet de doubler son capital " énervement parental"
 
5 : "c'est pas bon, les épinards  " ... ce qui est bien normal, hein , parce que c'est pas franchement bon, ( allez, courage, un brin d'honneteté ... j'ose ? .... j'ose pas ... j'ose ...  c'est drôlement dégueulasse !)
 
et là éternelle réponse a cette éternelle affirmation : " on ne dit pas c'est pas bon, on dis  : j'aime pas, hein parce que les gouts et les couleurs, ça se discute pas ... "
 
 
bilan : si les phrases favorites des enfants, sont parfois bien, bien répétitives, celles des adultes sont pas franchement mieux ( les goûts et les couleurs ... aaaaarrrrggh .. stoooooooooop )